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Objectif permanent
Soutien de la mission de la SHD
La Société d’histoire de Drummond est un organisme à but non lucratif dont la mission est de faire connaître l’histoire et les valeurs patrimoniales régionales de la MRC de Drummond. Reconnue comme centre d’archives privées agréé par Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), elle préserve également le patrimoine documentaire de la région en favorisant l’acquisition, le traitement et la conservation de divers documents d’archives issus de familles, d’individus et d’organismes privés.
Petit objectif - 1 300$
P123 Fonds Joseph Coulombe
Contenu : Environ 0,02 m. l. de documents textuels
Joseph Coulombe, fils de Thomas Coulombe et de Célina Lebel, est né le 7 janvier 1887 à Saint-Félix de Kingsey. Tout comme son père, Joseph pratique l’ébénisterie en plus d’être engagé en tant qu’électricien œuvrant à l’installation et à la réparation de lignes téléphoniques. Il occupe cette charge de 1912 à 1922. C’est durant cette période, plus précisément le 6 août 1918, que Joseph s’enrôle dans les forces militaires canadiennes dans le cadre de la Loi du Service militaire, adoptée pendant la Première Guerre mondiale le 29 août 1917 par le gouvernement canadien. Il quitte le port de Montréal le 30 août 1918 à destination de Liverpool. Arrivé en sol européen à la fin du conflit, Joseph est de retour au Canada moins d’un an plus tard, ayant été officiellement démobilisé le 6 juillet 1919. Il épouse Léontine Talon le 26 février 1935, et le couple donne naissance à 7 enfants : Georges-André, Jean-Paul, Jacques, René, Françoise, Josephte et Caroline. En plus d’installer dans la paroisse de Saint-Félix de Kingsey le premier garage de réparation automobile, Joseph occupe la charge de maître de poste de 1939 à 1966, aidé de son épouse. Joseph Coulombe décède en 1971.
Ce fonds témoigne de la vie de Joseph Coulombe, ainsi que celle de son père, Thomas Coulombe. On y retrouve plusieurs documents officiels, tels que des documents reliés à la vente et la donation de lots, à la succession de Thomas Coulombe et au mariage de Joseph. Ce fonds d’archives témoigne également de la réalité à laquelle devaient faire face les jeunes hommes canadiens suite à l’adoption de la Loi du Service militaire de 1917. Les divers formulaires officiels nous permettent de bien comprendre tout le processus de recrutement au cours de cette période mouvementée de notre histoire. Le fonds contient une copie du dossier militaire de Joseph Coulombe.
Votre don servira à :
Réaliser le traitement du fonds d’archives, soit :
- La classification
- Le classement
- La cotation
- La numérisation
- La description du fonds et des documents à la pièce
- La restauration ou l’encapsulation de document
- Créer un instrument de recherche
Moyen objectif - 3 500$
P143 Fonds Club Rotary
Contenu : Environ 0,7 m. l. de documents textuels
Ayant pour mission la création d’un monde où les gens collaborent à la réalisation de changements durable dans leur communauté, le Club Rotary de Drummondville est fondé en 1961. Son premier président, Normand Ferguson, et son équipe se rallient à la vision de Paul Harris, fondateur du premier Club Rotary à Chicago en 1905. Le Club Rotary de Drummondville encourage ainsi l’implication bénévole de ses membres dans divers comités, dont le comité Loto-voyage, le comité Guignolée, le comité Souper homards, le comité des dons, et le comité Bourses d’études. Le financement recueilli par les différents comités, en plus des différentes donations de la population drummondvilloise, permet au club et à sa fondation de réinvestir dans les communautés locale et internationale. Le club soutient plusieurs organismes dans la réalisation de leur mission, dont La Piaule, la maison Habit-Action, Ensoleilvent, le Comptoir alimentaire de Drummondville et le Centre Normand Léveillé. Toujours en action aujourd’hui, le Club Rotary de Drummondville continue sa mission tout en ayant une vie sociale bien remplie.
Ce fonds se compose notamment de différents documents textuels relatifs au fonctionnement de l’organisme de 1998 à 2007. Il s’y retrouve des procès-verbaux, des dossiers de projet, des états financiers, des bulletins, etc.
Votre don servira à :
Réaliser le traitement du fonds d’archives, soit :
- L’évaluation
- Le tri
- La classification
- Le classement
- La cotation
- Le traitement physique
- La numérisation
- La description du fonds
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Grand objectif - 6 000$
P3 Collection Famille Millar
Contenu : Environ 0,7 m. l. de documents textuels - Environ 200 photographies et
18 cartes et plans
Leslie Howard Millar est né le 3 août 1891 à Lord’s Farm, près de Drummondville, de l’union de Charles Howard Millar, registraire, et d’Ida McDougall, fille de Robert McDougall, le fondateur des forges de Drummondville. Il épouse le 5 octobre 1921 Myra Bradford de qui il a deux enfants, Barbara et Myra-Jean. Retiré à sa résidence du lac Memphrémagog à la fin des années 1970, il y décède en 1984. Leslie Howard Millar joint les rangs de l’armée en 1914, avant de devenir comptable pour le marchand automobile J.-O. Montplaisir avec qui il s’associe avec d’autres employés en 1927. À sa retraite en 1964, Leslie H. Millar est partenaire majoritaire dans la direction de l’entreprise. Amateur de chasse et de pêche, Leslie H. Millar développe aussi certains talents de cartographe, ainsi que l’indiquent plusieurs pièces conservées dans cette collection d’archives. Membre de la Chambre de Commerce du Comté de Drummond depuis 1936, il en devient président en 1940. En 1965, il préside, avec le juge Joseph Marier, les fêtes du 150e anniversaire de fondation de Drummondville.
La collection Famille Millar reflète plusieurs éléments de l’histoire drummondvilloise de 1820 à nos jours. La première partie est composée principalement de l’histoire et de la généalogie des grandes familles de Drummondville et plus particulièrement de la famille Millar. Nous y retrouvons la correspondance personnelle et d’affaires de cette famille. Cette série renferme aussi les documents administratifs se rattachant aux décès de Patrick Harvey et de W.J. Watts et traite aussi de thèmes économiques, tels que la vente de lots et les forges McDougall, de même que la présence amérindienne dans la région. La seconde partie comprend la correspondance d’affaires et personnelle de Charles Howard Millar, de Yvan Skrine Millar et de Robert James Millar. À cela s’ajoutent quelques documents sur Millar Mines ainsi que des cartes réalisées par Leslie Howard Millar.
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